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Citizenside - Flickr - Book

Une voix, une gueule et surtout une bête de scène, voilà comment on pourrait dépeindre le bonhomme. Forçat de l’art, il est incontestablement un des grands noms du rock français, libre et à part.

Una voce, un volto, e soprattutto un uomo di spettacolo, è così che si potrebbe descrivere l’uomo. Condannare l’arte, è senza dubbio uno dei grandi nomi del rock francese, liberi e condividere.

A voice, a face, and especially a showman, that’s how you could portray the man. Convict the art, it is unquestionably one of the great names of French rock, free and share.

Voir les vidéos de Télérama, Jacques Higelin au fil de ses albums :
 (1/6) “Brigitte Fontaine et Jacques Higelin… avant le déluge” (1976) : “Je voulais ressembler à Philippe Clay”
 (2/6) “No man’s land” (1978) : “J’aimais pas… je m’aimais pas”
 (3/6) "Champagne pour tout le monde" : “Je suis p’tête qu’un chansonnier qui s’est risqué à faire du rock ?”
 (4/6) “Higelin à Bercy” (1985) : “J’étais comme dans un grand film”
 (5/6) “Paradis païen” (1998) : “Je l’écoute pas souvent… j’avais du mal à chanter"
 (6/6) “Beau Repaire” (2013) : “Celui-là, je l’aime, du premier au dernier morceau !”