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Mahamat Saleh Haroun

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Les rencontres des cinémas d’Europe ont aboli les frontières (quoique...) en 2013, en recevant un ami africain, Mahamat Saleh Haroun, autour du film « Grisgris » qui a obtenu pour le magnifique travail d’Antoine Héberlé sur la photographie ( de nuit, peaux sombres…) le prix Vulcain de la Commission Supérieure Technique au festival de Cannes 2013.
Antoine Héberlé (prévu initialement comme invité) étant retenu au dernier moment sur un tournage Pierre-William Glenn - Directeur de la photographie - a remis à Mahamat Saleh Haroun le prix Vulcain, avant qu’un débat très riche animé par Guillemette Odicino - journaliste critique à Télérama - avec le public autour du film "Grisgris" soit engagé.

Incontri di film europei hanno abolito confine (quoique. ..) nel 2013, ricevendo un amico africano, Mahamat Saleh Haroun, in tutto il film "Grisgris", che ha ottenuto per il magnifico lavoro di Antoine Heberle sulla fotografia (notte, pelle scura ...) Prezzo Vulcan CST a Cannes 2013.
Antoine Heberle (originariamente previsto come ospite) che si terrà all’ultimo momento su un tiro di Pierre-William Glenn - fotografia - consegnato Mahamat Saleh Haroun prezzo Vulcano, prima di una corsa da Guillemette Odicino dibattito molto ricco - giornalista critico Telerama - con il pubblico sul film "Grisgris" è impegnata.

Meetings of European films have abolished border (although. ..) in 2013, receiving an African friend, Mahamat Saleh Haroun, around the film "Grisgris" which got to the magnificent work of Antoine Heberle on photography (night, dark skin ...) Price Vulcan the CST at Cannes 2013.
Antoine Heberle (originally planned as a guest) being held at the last moment on a shoot Pierre-William Glenn - Cinematographer - handed Mahamat Saleh Haroun price Vulcan, before a run by Guillemette Odicino very rich debate - critical journalist Telerama - with the audience about the film "Grisgris" is engaged.

Détail des clichés
Photos 1,6,8,10,12,14,15,17,19,21,23 : Mahamat Saleh Haroun
Photo 2 : de gauche à droite - Pierre-William Glenn, Mahamat Saleh Haroun, Guillemette Odicino.
Photo 3 : de gauche à droite - de gauche à droite Pierre-William Glenn, Guillemette Odicino, Michel Aulagnier (organisateur - Président de la Maison de l’Image)
Photo 4 : Mahamat Saleh Haroun, Michel Aulagnier
Photos 5, 9, 11, 13, 16, 18, 20, 24 : de gauche à droite - Mahamat Saleh Haroun, Guillemette Odicino.
Photos 7, 18 : vue du public, et de gauche à droite en arrière plan - Mahamat Saleh Haroun, Guillemette Odicino.

Bio - filmographie
Né en 1961 à Abéché (Tchad), il est marqué par le cinéma dès son enfance. Durant la guerre civile, il gagne le Cameroun avant d’adopter ensuite la France comme terre d’accueil où il étudie au Conservatoire Libre du Cinéma Français, puis se tourne ensuite vers le journalisme avant d’accéder à la réalisation en 1994. Son premier court métrage, "Maral Tanie", sur le thème des mariages arrangés, décroche une récompense au Festival Vues d’Afrique. Cinq ans plus tard, il réalise son premier long métrage, "Bye bye Africa", évocation entre fiction et documentaire de la disparition du cinéma dans son pays (Prix du Meilleur Premier Film au Festival de Venise).
Ses deux films suivants, "Abouna" en 2003 et "Daratt" trois ans plus tard, lui apportent une réputation internationale. Sélectionn à la Quinzaine des Réalisateurs, le premier raconte l’histoire de deux enfants e quête d’un père parti subitement. Le second décrit une tentative de vengeance teintée de réflexion humaniste et obtient le Prix Spécial du Jury à la Mostra d Venise. En 2010, "Un homme qui crie" qui relie les deux thèmes majeurs de son œuvre, les traumatismes dus à la guerre et les pères défaillants, est sélectionné au Festival de Cannes. En 2013, "Grigris" obtient le Prix Vulcain de la Commission Supérieure Technique, pour le travail d’Antoine Héberlé sur la photographie.