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Jean-Pierre Améris
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Dans le cadre des Rencontres des cinémas d’Europe, un hommage a été rendu en sa présence au réalisateur Jean-Pierre Améris, le 23 novembre 2013, avec la projection d’une rétrospective de ses films et téléfilms dont « Les Émotifs anonymes », et « L’homme qui rit », son dernier film d’après Victor Hugo. Chistophe Tourette, ami de Jean-Pierre Améris et réalisateur du film « Jean-Pierre Améris, portrait sensible », s’est joint au débat animé par Guillemette Odicino, journaliste et critique à Télérama.
Per amore dei film europei, hanno reso omaggio alla sua presenza al regista Jean-Pierre Ameris, 23 nov 2013, con la proiezione di una retrospettiva dei suoi film e film tv, tra cui " Emotivi anonimi "e" L’uomo che ride ", il suo ultimo film, dopo Victor Hugo. Chistophe Tourette amico Jean-Pierre Ameris e regista del film "Jean-Pierre Améris, ritratto sensibile" uniti Guillemette Odicino condotto dal giornalista e critico Télérama dibattito.
For the Love of European films, a tribute was paid in his presence to director Jean-Pierre Ameris, November 23, 2013, with the screening of a retrospective of his films and TV movies including " Romantics Anonymous "and" The man who laughs, "his latest movie after Victor Hugo. Chistophe Tourette friend Jean-Pierre Ameris and director of the film "Jean-Pierre Améris, sensitive portrait" joined Guillemette Odicino hosted by journalist and critic Télérama debate.
Bio-filmographie
Portant un intérêt au cinéma depuis son adolescence, Jean-Pierre Améris commence par tourner des courts métrages amateurs avant d’intégrer l’IDHEC. Diplômé, il retourne à Lyon, sa ville natale, où il réalise plusieurs courts métrages, dont « Intérim » qui obtient le Grand Prix du Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand en 1988.
Il réalise son premier long métrage en 1992, « Le Bateau de mariage », l’histoire d’un instituteur sous le régime de Pétain. Viendront ensuite « Les Aveux de l’innocent » et « Mauvaises fréquentations ». Les centres de soins palliatifs et les clubs de boxe servent de décors à ses deux films suivants : « C’est la vie » (2001) et « Poids léger » (2003), l’adaptation d’un roman d’Olivier Adam. Il aborde ensuite un thème qui lui est cher – l’enfance – en adaptant l’ouvrage d’Anne Wiazemsky, « Je m’appelle Élisabeth », avant de signer une comédie qui obtient un beau succès, « Les Émotifs anonymes ». En 2012, il concrétise un rêve, l’adaptation de « L’homme qui rit », d’après Victor Hugo.
Au long de sa carrière, Jean-Pierre Améris a également signé plusieurs films TV, dont « Maman est folle » avec Isabelle Carré (4 prix, dont le Prix du Meilleur Film TV décerné par le Syndicat Français de la Critique de Cinéma) et « La joie de vivre » avec Anaïs Demoustiers.
Il termine en 2013 le montage de son nouveau film, consacré à Marie Heurtin, une jeune femme muette et aveugle de naissance qui, à la fin du XIXe siècle, a réussi à s’instruire et à communiquer malgré son handicap.
En un peu plus de 20 ans, Jean-Pierre Améris s’est imposé comme l’un des réalisateurs français actuels de premier ordre, avec un parcours discret d’artisan qui, film après film, nous parle de choses essentielles et universelles à travers des destins individuels.